Faut-il être un psychopathe pour réussir, c’est la question que je me pose et c’est de ce sujet que nous allons discuter ensemble cette semaine.
Quand j’analyse certains directeurs de grandes entreprises qui ont réussi, certaines athlètes sportives ayant percés, je retrouve des points de similitudes avec ce qui déterminent un psychopathe.
Vous allez me prendre pour un fou après la lecture de cet article, mais finalement la frontière est des fois très mince si vous faites cette analyse, en tout cas il y a au moins des similitudes que l’on ne peut pas réfuter.
Sommaire de l'article :
LA TECHNIQUE DU PSYCHOPATHE POUR RÉUSSIR
Pour pouvoir bien faire le point, tout d’abord voyons qu’est-ce qui caractérise un « psychopathe » :
L’indifférence froide
Les personnes ne sont pas sensibles, on ne peut pas les « prendre par les sentiments ».
L’irresponsabilité
Cette irresponsabilité est souvent revendiquée, constante, avec un mépris des règles et des contraintes sociales.
Difficulté de maintenir une relation avec autrui
Mais de manière paradoxale, la personnalité psychopathe a des facilités à nouer des relations. Simplement, elles ne durent pas.
Intolérance à la frustration
Le psychopathe ne supporte pas, de ne pas obtenir ce qu’elle veut, et son seuil d’agressivité est très bas en la matière : elle va très vite s’énerver.
Absence de culpabilité
Il n’y a aucune remise en question après un passage à l’acte. Même les sanctions ne remettent pas le psychopathe en question.
Tendance à blâmer autrui
La personnalité psychopathe va expliquer de manière très rationnelle ses difficultés avec la société, en accusant les autres d’en être responsable, et de manière très convaincante.
Certains points ne vous rappellent-ils pas les personnalités de directeurs de grandes sociétés ? C’est en lisant des auto-biographies que cette similitude m’a frappé.
LA TECHNIQUE DU PSYCHOPATHE – DES LEÇONS A RETENIR
Je répète moi-même qu’il faut avoir de l’indifférence envers les autres (dans une certaine mesure), envers votre environnement sociale pour réussir à percer dans votre pratique ou vos activités professionnelles, c’est ce qu’on appelle : LA CONCENTRATION.
Professionnellement, c’est souvent plus naturel de passer ce cap, car le temps passer à travailler, vous coupe plus rapidement des habitudes standards et vous procure donc une certaine indifférence de l’environnement en vous plaçant dans un cocon de concentration obligatoire, nécessaire à faire avancer les affaires.
En effet le psychopathe se fabrique une réalité dans laquelle il évolue, mais monter son entreprise, user des gens qui vous entourent pour arriver à ses fins n’est-ce pas une forme de psychose finalement, n’est-ce pas construire sa propre réalité ?
Nous n’avons donc d’autres choix que de nous transformer en psychopathe pour réussir à surmonter toutes les barrières qui se dressent faces à nous.
Ne serait-ce qu’au niveau des émotions, comment affronter toutes les situations sans ne pas à la longue devenir quasiment insensible aux émotions. Y prêter à chaque fois attention ne serait-ce pas se fatiguer en vain alors que nous avons des objectifs précis à réaliser ? Pourquoi perdre du temps ?
Et c’est là toute la ressemblance entre « l’état » dans lequel vous devez être pour PERCER et ce qui est considéré comme une MALADIE. Pour vous plonger dans un projet quel qu’il soit vous êtes obligé de vous focaliser sur le BUT que vous vous êtes fixé, le but ultime.
Beaucoup de ceux qui cherchent à faire des compromis s’oublient en cours de route, et elles échouent lamentablement !
C’est inévitable, encore plus à notre époque. Quoi que je ne sais pas s’il y avait une époque plus propice qu’une autre pour réussir.
Je ne fais que me répéter en disant qu’il faut une grande part d’égoïsme pour ne pas lâcher l’affaire dans laquelle nous nous sommes lancés. Si évidemment vous n’avez pas d’ambitions, pas de volonté de dépasser le stade du loisir alors j’imagine qu’il est pour vous difficile de comprendre mon optique. Mais certainement que vous avez déjà lâché la lecture de cet article si c’est le cas.
Tout est tellement difficile, tout demande tellement de temps pour progresser, pour s’améliorer, comment y arriver en concédant toujours autant de temps à de la disponibilité sociale futile, à des tâches qui sortent de vos objectifs ultimes.
Les psychopathes sont prêts à tout pour que chaque chose convient à leurs envies. Et c’est ce que vous devez faire pour avancer !
Tous les jours la société Française plus qu’une autre vous rabaisse et vous rappelle que vous ne pouvez pas y arriver. Il est temps de faire en sorte que les choses vous conviennent à vous et à personne d’autres.
Il n’est pas question de déni ou de fuite de la réalité, un psychopathe cherche juste à la modifier pour qu’elle soit conforme à l’idée que lui s’en fait. Si quelqu’un agit différemment, il fera tout pour recadrer son environnement pour protéger sa propre réalité de l’extérieur.
Si vous chercher à sortir du lot vous devez agir de même.
Quand vous vous fixez un objectif vous devez tout faire pour vous y tenir, vous ne fuyez pas la réalité, puisque vous faites toujours partie intégrante du système, seulement c’est vous consacrer intégralement à la tâche ! On se dédie à l’objectif. C’est aussi ça en faire un style de vie.
Vous devez ainsi tout faire pour protéger vos ambitions, et PROTÉGER VOS EFFORTS de tout ce qui pourrait y nuire. Ce n’est qu’en vous forgeant des murs que vous pourrez aller droit au but sans trébucher sans cesse sur des obstacles que vous auriez pu évités si vous auriez anticipé un minimum.
LA TECHNIQUE DU PSYCHOPATHE POUR RÉUSSIR – CONCLUSION
Prenez-moi pour un fou, je vous l’accorde, je suis allé chercher cette analyse au fin fond de l’espace !
Bien entendu il y a un monde qui nous sépare de la psychopathie (enfin je l’espère).
Dans ce que je constate il n’y a pas de place à la violence, et ça n’a pas raison d’être dans nos objectifs respectifs.
Simplement je n’ai pu m’empêcher de faire la comparaison, car en cherchant sans arrêt a améliorer mon entreprise, à augmenter mes performances, a me sur-passer je me dis qu’il y a des points similaires que nous devons emprunter si nous voulons continuer d’avancer et ne pas faire comme les autres.
Alors est-ce un mal, un bien ?
Je ne suis pas certain que la question est nécessaire dans notre cas de figure, la seule chose qui importe à mon sens est le résultat final, l’obtention et la validation de notre objectif, que celui-ci nous prenne 6 mois, 2 ans ou la vie entière !
Il faut se donner les moyens, les bonnes armes pour y parvenir, et tout en gardant les bonnes valeurs on ne doit pas s’inquiéter même si celles-ci paraissent des fois hors du commun.
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